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Les tarifs de l’électricité augmentent de 10% à compter du 1^er août, soit une hausse de plus de 25% en moins de six mois. En cause : la sortie du bouclier tarifaire annoncée par le gouvernement. Face à ce nouveau coup porté au porte-monnaie des plus précaires, Nicolas Thierry, député écologiste de Bordeaux, rappelle qu’un autre bouclier tarifaire est possible.

Pour Nicolas Thierry, la sortie de ce bouclier tarifaire, écologiquement inefficace, socialement injuste et financièrement intenable, était inéluctable. En effet, le gouvernement a choisi de plafonner pendant des mois la hausse des prix de l’énergie pour tous les Français, subventionnant autant les besoins vitaux des plus modestes que l’énergie superflue dépensée par les plus riches. Ce bouclier massif et approximatif représentait un coût intenable pour le budget de l’État.

Nicolas Thierry résume : « Aider de la même manière un foyer qui dispose d’une piscine et un autre qui passe l’été dans un appartement exigu n’a aucun sens. En accompagnant toutes les consommations, ce bouclier tarifaire a mécaniquement connu un dérapage budgétaire conduisant à son interruption. »

A la place, le député écologiste, réitère sa proposition de bouclier tarifaire alternatif, défendue à l’Assemblée nationale depuis le début de son mandat : « En dessous d’un certain seuil de consommation, je propose que tous les ménages bénéficient d’un prix protégé, inférieur au prix actuel et au-delà, toute consommation serait tarifée au prix de marché, donc fortement désincitatif. »

Ce bouclier tarifaire alternatif est plus juste et plus efficace : les foyers modestes qui consomment moins bénéficieraient d’une protection prix maximale et les plus aisés ne seraient pas subventionnés pour leur consommation superflue. Il est injuste de demander à tout le monde de faire les mêmes efforts quand les 10 % les plus riches consomment vingt fois plus d’énergie que les 10 % les plus pauvres. Surtout, cette tarification aurait l’avantage de représenter un coût budgétaire maitrisé pour les finances publiques.

Nicolas Thierry conclut : « En choisissant de concentrer l’effort sur les plus modestes, nous pourrions continuer à les aider dans le temps. A la place, le gouvernement a choisi un bouclier inefficace et injuste, qui aura fait l’effet d’un feu de paille au milieu d’une crise énergétique longue et éreintante pour les plus précaires. »

Pour Nicolas Thierry, la sortie de ce bouclier tarifaire, écologiquement inefficace, socialement injuste et financièrement intenable, était inéluctable. En effet, le gouvernement a choisi de plafonner pendant des mois la hausse des prix de l’énergie pour tous les Français, subventionnant autant les besoins vitaux des plus modestes que l’énergie superflue dépensée par les plus riches. Ce bouclier massif et approximatif représentait un coût intenable pour le budget de l’État.

Nicolas Thierry résume : « Aider de la même manière un foyer qui dispose d’une piscine et un autre qui passe l’été dans un appartement exigu n’a aucun sens. En accompagnant toutes les consommations, ce bouclier tarifaire a mécaniquement connu un dérapage budgétaire conduisant à son interruption. »

A la place, le député écologiste, réitère sa proposition de bouclier tarifaire alternatif, défendue à l’Assemblée nationale depuis le début de son mandat : « En dessous d’un certain seuil de consommation, je propose que tous les ménages bénéficient d’un prix protégé, inférieur au prix actuel et au-delà, toute consommation serait tarifée au prix de marché, donc fortement désincitatif. »

Ce bouclier tarifaire alternatif est plus juste et plus efficace : les foyers modestes qui consomment moins bénéficieraient d’une protection prix maximale et les plus aisés ne seraient pas subventionnés pour leur consommation superflue. Il est injuste de demander à tout le monde de faire les mêmes efforts quand les 10 % les plus riches consomment vingt fois plus d’énergie que les 10 % les plus pauvres. Surtout, cette tarification aurait l’avantage de représenter un coût budgétaire maitrisé pour les finances publiques.

Nicolas Thierry conclut : « En choisissant de concentrer l’effort sur les plus modestes, nous pourrions continuer à les aider dans le temps. A la place, le gouvernement a choisi un bouclier inefficace et injuste, qui aura fait l’effet d’un feu de paille au milieu d’une crise énergétique longue et éreintante pour les plus précaires. »

Courte intervention dans l’émission « Dimanche en Politique » afin d’évoquer les enjeux de l’eau et de l’agriculture : les pouvoirs publics doivent conditionner les aides financières au changement du modèle agricole. L’eau est une ressource limitée et vitale. Elle ne peut plus être utilisée pour alimenter un système intensif qui abîme les écosystèmes et notre santé.
Pour voir et écouter mon intervention